L’Association Sine «santé» va célébrer ses 10 années d’existence. Très connue à cause des consultations médicales gratuites et des dons de médicaments qu’elle effectue régulièrement, la structure a prévu d’organiser diverses activités à Fatick du 2 au 3 mai.
Le président de Sine santé, Demba Guèye, a souligné que son association portée sur les fonts baptismaux en 2004 regroupe l’ensemble des médecins, pharmaciens, chirurgiens-dentistes,  infirmiers et sages-femmes originaires de la région de Fatick. 

La Journée mondiale de lutte contre le Paludisme placée sous le thème , "Investir dans l'avenir, vaincre le paludisme", a été célébrée au Sénégal hier, vendredi 25 avril 2014, à Richard-Toll, à l'instar de la communauté internationale. Si les efforts consentis par les autorités étatiques et les organismes internationaux  ont abouti à des résultats probants - le taux de prévalence qui était de 5,7% à l'échelle nationale a été réduite à 3% -, il n'en demeure pas moins qu'il reste encore beaucoup à faire pour l'éradication du paludisme.

Le Centre hospitalier régional de Tambacounda innove. Si l'on en croit le directeur de cet établissement public de santé de niveau 2, qui a fait face à la presse hier mardi, la structure s'enrichira d'un bureau des usagers qui aura en charge l'enregistrement des plaintes, la médiation et la diffusion de la bonne information.

Pauvre ministre de la Santé et de l’Action sociale ! La très sympathique Eva Marie Colle Seck a vécu, cette après-midi du 26 avril 2014, une soirée cauchemardesque qui aura balafré pour longtemps sa mémoire. Pour cause, elle a été maladivement huée et conspuée à Touba, où elle s’était rendue, ce samedi, dans le cadre de la “Couverture maladie universelle”, a constaté le correspondant de Actusen.com dans la capitale du Mouridisme. 

La circoncision est un passage obligé pour tout petit garçon musulman. Elle s’opère le plus souvent avant sept ans. La mutuelle de santé des « daaras » (école coranique) a organisé, la semaine dernière, la circoncision de jeunes garçons âgés de 4 à 15 ans.

En opérant ainsi, la mutuelle de santé des « daaras » montée il y a quelques années sur initiative du Dr Habib Ndiaye, à l’époque médecin chef du district sanitaire de Thiès, avec l’appui du Groupe de recherche pour les initiatives mutualistes, entend régler les problèmes sanitaires et financiers. Ce qui permet d’alléger les charges des parents. Les jeunes circoncis ont été répartis entre les postes de santé de Sampathé, des Parcelles Assainies, de Grand Thiès, de Silmang, d’Anène, de Diakhao, de Mbour II et de Mbour III. Gémissements et cris de douleurs ont été la chose la mieux partagée.

Le ministre de la Santé et de l’Action sociale a présidé, hier, à Richard-Toll, dans la région de Saint-Louis, la 7ème édition de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. Le Pr. Awa Marie Coll Seck a saisi cette tribune pour inviter les populations et les agents de santé de cette zone du Walo, en phase de pré-élimination du paludisme, à maintenir le cap dans la lutte contre cette maladie.

La ville de Richard-Toll, malgré ses cours d’eau, ses champs et ses eaux stagnantes favorables à la prolifération des moustiques, est dans la phase de pré-élimination du paludisme. Ces dernières années, le district sanitaire a enregistré de bons résultats grâce à l’implication des acteurs de la santé et de la communauté. D’où le choix de cette ville pour abriter la 7e Journée mondiale de la lutte contre le paludisme présidée par le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Awa Marie Coll Seck. Elle était accompagnée du ministre de la Famille, de la Femme et de l’Entreprenariat féminin, Anta Sarr Diacko, de la représentante de l’Organisation mondiale de la santé (Oms), du maire de Richard-Toll et des autorités administratives de la région de Saint-Louis.

Le ministre de la Santé et de l’Ac­tion sociale, Awa Marie Coll Seck, a annoncé, mercredi à Dakar, la relance du plan Sésame dans le but d’assurer une meilleure prise en charge aux personnes âgées. «Le plan Sésame est très important pour les populations mais, il nécessite un ciblage beaucoup plus clair. Les personnes qui ont les moyens devraient payer leur consultation (…). Nous travaillons sur un meilleur ciblage pour prendre en charge les personnes âgées avec les moyens que nous avons», a-t-elle dit.