AMEA Power conclut une transaction d’1.1 milliard de dollars US pour déployer 1 GW d'énergie éolienne et solaire en Egypte
- La centrale solaire photovoltaïque de 500 MW sera développée, détenue et exploitée par AMEA Power
- Le parc éolien de 500 MW sera le plus grand d’Afrique
- La mise en œuvre de ce projet porte le portefeuille de production d’énergie propre d’AMEA Power en Égypte à 2 gigawatts
Maroc : réunion cruciale pour la reconstitution des ressources du Fonds africain de développement qui célèbre 50 ans de soutien aux pays africains à faible revenu du continent
Sénégal : la Banque africaine de développement va investir plus de 166 millions d’euros pour la construction de l’autoroute Dakar-Tivaouane-Saint Louis
Le Soudan du Sud souhaite intégrer la ZLECAf pour booster son économie
Pour stimuler sa croissance économique, le Soudan du Sud envisage profiter des avantages du marché commun qu’offre la ZLECAf, la Zone de libre-échange continentale africaine. Pays en crise depuis plus d’une décennie, le Soudan du Sud jouit d’un potentiel, dont la transformation devrait permettre de réduire la dépendance aux exportations.
Le Projet Commun d'Appui à la Mise en Œuvre de la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine fait le point sur ses avancées
AMEA Power signe un protocole d’accord avec le gouvernement égyptien pour développer un projet de production de 1,000 MW d’hydrogène vert
- L’accord soutiendra la vision à long terme de l’Egypte de devenir le principal hub de la production de l'hydrogène vert
- Le projet produira 800 mille tonnes d’ammoniac par an pour l’exportation
AMEA Power, l’une des sociétés d’énergie renouvelable à la croissance la plus rapide au Moyen-Orient, a annoncé aujourd’hui avoir signé un accord-cadre avec le gouvernement égyptien afin de développer un projet d’hydrogène vert de 1,000 MW, pour produire l’ammoniac vert destiné à l’exportation.
Le Fonds africain de développement investit plus de 6 millions de dollars pour renforcer la gouvernance des finances publiques des pays africains à faible revenu
Avec l'acquisition de Noatum, le groupe AD Ports se positionne de plus en plus comme une plateforme de services logistiques mondiale
L’investissement stratégique de 2,5 milliards de dirhams émiratis offre également une exposition aux activités maritimes dans la région méditerranéenne et aux installations portuaires en Espagne
AD Ports Group (ADX : ADPORTS) a annoncé aujourd'hui l'acquisition de Noatum, une plateforme de services logistiques intégrée mondiale installée dans 26 pays, avec un chiffre d'affaires lors des douze derniers mois et un Bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement (BAIIDA) de 6,91 milliards de dirhams émiratis (1,80 milliard d'euros) et 555 millions de dirhams émiratis (145 millions d'euros), respectivement.
Guinée : accord de principe entre une mission de haut niveau du Groupe de la Banque africaine de développement et le gouvernement pour étendre jusqu’en 2024, le Document de stratégie-pays
Cameroun : les défis de l’accès aux semences de qualité
Répondre à leurs besoins en semences, c’est le défi des agriculteurs camerounais, à chaque campagne semencière. Fortement dépendants des semences de base importées, les acteurs du secteur agricole camerounais qui ont subi le contrecoup de la crise sanitaire dès 2020, font désormais face aux dysfonctionnements des chaînes d’approvisionnement, liés au conflit russo-ukrainien. Pour sauver leur activité tout en conservant de bons rendements, les agriculteurs du Cameroun se lancent dans la production locale de semences, une activité rigoureusement encadrée par la loi.
Il faut à l’Afrique un mécanisme de gestion de sa dette
La crise de la dette ne peut être résolue qu’avec un marché plus stable et plus liquide des obligations d’État africaines, affirment Daniel Cohen, président de Finance for Development Lab, et Ibrahim Elbadawi, directeur général de l’Economic Research Forum, dans un rapport publié conjointement par les deux organisations.
Les gouvernements africains ont du mal à obtenir des emprunts et des investissements pour mieux assurer leur redressement après la crise sanitaire, et mieux s’adapter à l’augmentation du coût de la vie. Les niveaux de la dette souveraine sont insoutenables dans certains pays. Et même les pays dont les fondamentaux sont solides souffrent d’un choc de liquidité que les dispositifs financiers actuels ne sont pas en mesure de gérer.