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Cité de recasement des sinistrés des inondations : Tawfekh, ce n’est pas le Paradis

Tawfekh Yaakaar ne veut pas perdre espoir. Malgré de nombreuses tentatives d’alerte dont le dernier en date étant un mémorandum envoyé au président de la République, les habitants de la localité ne se découragent pas. Ils espèrent que les mesures d’accompagnement vont suivre pour une localité fonctionnelle en tous points. Recasés en 2013 suite aux fortes inondations ayant secoué la banlieue, les habitants de Tawfekh Yaakaar se disent en fait complètement oubliés par l’Etat. «C’est comme si l’Etat nous a installés et oubliés», a avisé jeudi Ousmane Ndiaye, le délégué de la cité implantée dans la commune de Tivaouane Peul Niague.

Selon le conseil national des ainés du Sénégal (cnas) le 3eme âge supporte 40% des ménages

 40% des ménages sont tenus par les personnes âgées avec une moyenne de 8 personnes par foyer.  L’annonce est du président du Conseil national des ainés du Sénégal (Cnas) Mame Birame Faye, hier, jeudi 10 janvier, à l’occasion de la journée nationale des personnes âgées. Une journée organisée sous le thème : « Vers une unité d’actions pour  une efficience des interventions en faveur des personnes âgées du Sénégal» 

Invité au gouvernement pour l’indemnisation équitable et intégrale des populations impactées, Macky « calme» les mécontents en perspective de la réception du Ter, lundi prochain

 La réception du Train Express Régional (TER), sur le trajet Diamniadio - Rufisque – Dakar et l’inauguration de la gare ferroviaire de Dakar, le 14 janvier prochain, l’indemnisation équitable et intégrale des populations impactées, la relance de Dakar - Bamako - Ferroviaire (DBF) ainsi que la réhabilitation prochaine de ladite ligne de chemin de fer sont des préoccupations du Chef de l’Etat, réitérées hier, mercredi 9 janvier, en Conseil des ministres. Aussi Macky Sall exhorte-t-il le gouvernement à l’entretien et la maintenance des infrastructures publiques en service. 

Bourses de sécurité familiales : Anta Sarr Diacko répond à ses détracteurs

«Les bourses de sécurité familiales ne sont pas de l’aumône. Ce sont des aides, des appuis aux familles démunies et pauvres». Telle est la réponse de Dr Anta Sarr Diacko aux détracteurs qui soutiennent que «les bourses de sécurité familiales sont des ‘’Sarakh’’ (aumône) que le président de la République, Macky Sall, offre aux Sénégalais depuis son arrivée au pouvoir».

Selon la déléguée générale à la protection sociale et à la solidarité nationale, le Chef de l’Etat, à travers ces bourses de sécurité familiales, a voulu «être solidaire avec des Sénégalais qui n’ont pas assez de moyens pour se nourrir, se soigner ou encore envoyer leurs enfants à l’école».

Escroquerie de haut vol : Semer, le Dg Diène Marcel Diagne, les fausses maquettes et les milliers d’ha perdus

«Construire l’avenir à travers un projet révolutionnaire, unique en Afrique de l’Ouest dit Diamniadio Lake City», telle est l’ambition que tente la société Semer Invest au Sénégal. Pour le mouvement d’alerte, Leral Askanwi, c’est une escroquerie à grande échelle qui se cache derrière l’opération vantée à grands coups de pub et de marketing. Ainsi, le mouvement invite le président et les autorités à plus de prudence, à défaut de reculer.

Sénégal - "Homme de l'année 2018" : Bruno Diatta, sans protocole

Bruno Diatta, chef du protocole du Palais pendant 40 ans, mort à 69 ans, est l'Homme de l'année. Seneweb a suivi ses traces de Cabrousse à Dakar en passant par Saint-Louis.

 

Louis, on ne le présente plus. Son nom complet ? Bruno Robert-Louis Diatta. Plus connu sous Bruno Diatta ou, familièrement, Bruno. Chef du protocole de la Présidence pendant 40 ans, il a servi sous tous les chefs de l'État, Senghor, Diouf, Wade et Macky Sall. Mort le 21 septembre, à 69 ans, il repose au cimetière de Bel-Air. Ce bel homme à la silhouette fine, au visage carré, au teint crème, fou de foot et à la mise toujours impeccable est l'Homme de l'année 2018. Titre que Seneweb attribue tous les ans, depuis 2014, à une personnalité qui aura marqué les douze mois précédents.

Sénégal - Grève de la faim à l’Inseps : Un quatrième gréviste évacué à l’hôpital

Voilà une semaine que les inspecteurs de la jeunesse et des sports poursuivent une grève de la faim. Motif : la réclamation de leur recrutement au sein de la Fonction publique. Cependant, la diète fait des effets sur leur santé. Un quatrième inspecteur a été évacué ce matin à l’hôpital. Malgré cela, ces inspecteurs sont déterminés à continuer leur grève.

Message de noël dans un contexte de tension préélectorale au Sénégal la déclaration de Mgr Benjamin Ndiaye très attendue, ce lundi

 La communauté chrétienne célèbre Noël demain, mardi 25 décembre, commémorant la naissance du Christ. Occasion pour l’archevêque de Dakar, Mgr Benjamin Ndiaye, dont la déclaration est attendue aujourd’hui à sa Résidence Les Badamiers, de revenir sur l’actualité et inviter les fidèles à un retour à Dieu, dans un contexte préélectoral très tendu au Sénégal. 

Noël 2018 sera fêté demain, mardi 25 décembre. En cette occasion, le message du Pape François est très attendu, en plus de ceux des chefs de l’Eglise un peu partout à travers le monde, revenant sur l’actualité et invitant les fidèles à un retour à Dieu.

Sénégal - La profanation des lieux de culte : responsabilité et engagement

Suite à la profanation de la cathédrale de Kaolack, nous  partageons quelques réflexions et lançons un appel aux sénégalais et à l’Etat La profanation des lieux de culte se pose avec acuité au Sénégal ces dernières années. Si dans les années 80 ce phénomène était rare (destruction de la grotte de Popenguine en 1982, rare élément connu de cette époque), plus de quinze (15) cas ont été enregistrés entre 2010 et 2018). La connaissance de pareils actes est-elle liée à une communication plus accessible ? C’est-à-dire la prolifération des outils de communication qui a permis de mieux connaitre ces phénomènes de profanation ? Ou bien sommes-nous en face d’une situation nouvelle remettant en question les valeurs religieuses les plus sacrées au point de banaliser de pareils actes. Ce qu’il faut retenir au préalable c’est la généralisation de cette profanation. Il ne s’agit absolument pas d’actes isolés comme on veut nous le laisser entendre. Nul n’est épargné : musulmans, chrétiens, autres confessions religieuses.          

Sénégal - Procès des présumés terroristes, difficultés dans l’approvisionnement en eau, rapt des enfants… 2018, une année pleine de troubles

Plusieurs événements ont marqué l’actualité durant l’année 2018. Il s’agit, entre autres, du procès des présumés terroristes, les manquements dans la distribution de l’eau potable à Dakar, les rapts d’enfants et le drame de Bofa Bayotte.  PROCES IMAM ALIOU NDAO ET CIE, UN MIRAGE !

L’année 2018 a été marquée par une forte actualité judiciaire. L’une des plus marquantes est le procès des présumés terroristes. Après de nombreux renvois, ce qui était qualifié de procès Imam Aliou Ndao et coaccusés s’est ouvert en avril, dans une salle 4 du Palais de Justice Lat-Dior de Dakar archi comble.

Confidence - « J’ai avorté 7 fois, aujourd’hui je cherche une solution pour enfanter »

Vous allez certainement me juger mais je regrette amèrement mes erreurs du passé. Je m’étais faite la promesse de me marier vierge, hélas nous avons nos rêves mais il y a aussi les réalités de la vie.

J’ai grandi dans une famille chrétienne, mes parents étaient des responsables à l’église mais cela ne m’a pas empêché de faire ce que j’ai fait.

J’étais une fille très brillante à l’école. J’avais d’excellentes notes et mon autre atout était aussi ma beauté.

Vivement les Assises de la Société civile au Sénégal

L’affaire de Lead Africa, accusé d’enfreindre la Loi sur les financements d’ONG  au bénéfice de  "Y en a marre" , par le par Ministère de  l’Intérieur du Sénégal ,   a donné l’occasion à nombre d’organisations de la Société civile du pays,  à se mettre en rang de bataille pour défendre sa cause.

Curieusement, cette mobilisation  se présente comme une Défense de "Y en a marre", comme si le Ministère de l’Intérieur l’avait accusé d’un manquement quelconque à la Loi,  et lui avait infligé une sanction administrative.

Ainsi, l’on assiste à une dérive spectaculaire dans notre  Société civile, qui, de « Défenseurs des Droits Humains » s’est transformée subitement en «  Défenseurs des Droits leurs Bailleurs de Fonds » !

Ce dont elles ont peur, c'est  ce qui est arrivé à Lead  Africa, n'arrive à leurs propres Bailleurs!