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Mar, Avr
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Les nominations en conseil des ministres du Jeudi 22 mai 2014

Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :  
 

  • Monsieur Alioune Ndao FALL, Ambassadeur du Sénégal au Cameroun, est nommé, cumulativement avec ses fonctions, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès de Son Excellence Monsieur Idriss DEBY ITNO, Président de la République du Tchad, avec résidence à Yaoundé ;

  • Monsieur Sogué DIARISSO, Statisticien Economiste, est nommé Directeur général du Bureau opérationnel de Suivi du Plan Sénégal Emergent (BOS) ;

Crise dans les Universités du Sénégal : Wade reçoit les étudiants libéraux et charge Macky Sall

Hier à 18 heures, Me Abdoulaye Wade a reçu à la permanence du Pds, pendant 45 minutes, le Mouvement des élèves et étudiants libéraux (Meel) dirigé par Victor Diouf. D’après les informations recueillies par nos confrères de L’As, la rencontre s’est passée dans de très bonnes conditions et les jeunes étudiants ont remercié Me Wade pour tout ce qu’il a fait pour les étudiants sénégalais (généralisation des bourses, aides…).

Toutefois, le Meel a regretté devant Wade le fait que tous les privilèges dont bénéficiaient les étudiants, le régime de Macky Sall les a enlevés et que, depuis le début de l’année, des étudiants qui ont droit à une bourse n’ont pas reçu leur dû. 

Khalifa Sall - «Ma candidature ne présente aucun intérêt»

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L’OBS – Accroché hier au sortir du Bureau politique du Parti socialiste (Ps), Khalifa Sall explique pourquoi il ne s’est pas présenté contre Tanor Dieng pour diriger le parti.

On en sait maintenant un peu plus sur les raisons de l’absence de Khalifa Sall à la course pour le poste de Secrétaire général du Parti socialiste. Alors que beaucoup d’observateurs s’interrogent sur son cas, le maire socialiste de Dakar donne une esquisse du pourquoi il ne brigue pas le poste de Secrétaire général du Ps contre Ousmane Tanor Dieng. Le chargé de la vie politique du Ps ne voit pas l’intérêt de se présenter pour briguer le fauteuil de Ousmane Tanor Dieng. Interpellé hier au sortir de la réunion du Bureau politique sur les raisons de sa non-candidature au poste de Secrétaire général du Ps, Khalifa Sall lâche, sec : «Ça ne présente aucun intérêt.» Ni plus ni moins.

L'ancien Président a reçu hier Talla Sylla, puis s'est rendu à la permanence du Pds :Révélations sur les coulisses d'une journée mouvementée

De bonnes sources, Dakaractu est en mesure de révéler que le prédécesseur de Macky Sall au pouvoir a eu hier une journée à la fois chargée et mouvementée.
D'abord, Me Abdoulaye Wade a reçu dans sa résidence de Fann, son ancien compagnon de lutte et non moins leader du Jëf Jël, Talla Sylla. En effet, les deux personnalités se sont rencontrées hier pendant au moins un tour d'horloge, se rappelant du bon vieux temps, c'est à dire la période des vaches maigres durant laquelle ils ont cheminé ensemble. Soit dit en passant, Talla Sylla a d'abord été militant du Pds avant de quitter les prairies bleues.
Après cette audience, Me wade s'est rendu à la permanence Oumar Lamine Badji aux fins d'y rencontrer le Meel, puis l'Ujtl et enfin les femmes du Pds.

TOUBACRATIE - Liste Touba: Abdou Lahad Seck Sadaga veut la destitution de Moustapha Diakhaté

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iGFM (Dakar) Abdou Lahad Seck Sadaga a vertement désapprouvé Moustapha Diakhaté, par ailleurs, président du groupe parlementaire de Benno bokk yaayaar qui a contesté la liste non paritaire de la ville sainte de Touba pour les élections locales du 29 juin prochain.

Invitant ses collègues et camarades députés de tout faire pour que Moustapha Diakhaté quitte le poste de président de leur groupe parlementaire, le député Abdou Lahad Seck Sadaga, a de plus, demandé à son camarade de présenter ses excuses à la communauté mouride  de manière publique.

Mamadou l. Diallo et Tekki clot le débat sur la liste non paritaire de bby « à Touba, il n’y a pas d’élection locale…»

Le député Mamadou Lamine Diallo et le mouvement Tekki sont formels.  « L’Etat ne doit pas chercher à organiser une élection locale dans la commune de Touba », puisqu’il n’y a pas d’élection locale et que « la loi sur la parité ne s’applique pas ». 

 

Se prononçant en effet sur le débat qui accompagne la publication d’une liste non paritaire dans la cité religieuse, Mamadou Lamine Diallo et cie ont tenu à mettre fin à une polémique pratiquement sans objet. Faisant remarquer que même si la loi n° 2010 -11 du 28 mai 2010 stipule en son article premier que la parité absolue homme femme est instituée dans toutes les institutions totalement ou partiellement électives, le député et son mouvement font savoir que les partis politiques et les coalitions qui concourent aux suffrages au Sénégal ont toujours été d’accord que le Khalife Général des Mourides seul puisse  présenter une liste pour la commune de Touba. 

Qualifiés de «dames de compagnie du couple Faye-Sall» par Idi, intellectuels et journalistes par «respect» à Macky s’emmurent dans le silence

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OBS – Le silence. C’est la réplique des «hommes» du Président Macky Sall aux «propos infâmes» d’Idrissa Seck les qualifiant de «dames de compagnie» du couple présidentiel. Une façon pour les pro-Macky de respecter la consigne du chef: «Ne plus répondre aux attaques de Wade et Idi.»

C’est devenu une routine. Une manie. Depuis son retour de l’Hexagone, le maire de Thiès Idrissa Seck ne cesse de décocher ses missiles à l’endroit du régime en place. Il ne se passe pas une semaine sans que l’ancien Premier ministre sous l’ère Wade ne tienne des propos incendiaires et virulents à l’encontre de Macky Sall et de ses proches. 

Aminata Touré sur les déclarations d’Idrissa Seck : « Ce n’est pas en parlant qu’on va développer le Sénégal »

Le Premier ministre, Aminata Touré, a effectué une tournée de deux jours, les 19 et 20 mai, dans la banlieue pour s’enquérir de l’état d’exécution des travaux entrepris dans le Plan décennal de lutte contre les inondations. Interpellée sur les propos du président du parti « Rewmi » qui a assimilé cette tournée à du folklore, le chef du gouvernement a rétorqué que cette sortie d’Idrissa Seck n’était pas importante. « Ce n’est pas en parlant qu’on va se développer mais en travaillant et cela, les Sénégalais en sont conscients ». 

Wade vers un meeting-déballage, ça craint pour Macky

Abdoulaye Wade, l’ancien président sénégalais a promis de tenir un meeting « qui ne pourra pas contenir tout le monde », sitôt après la fin de ses tournées et prises de contact.
De ce meeting, des déballages sont attendus, car Wade donnant un avant-goût de cette rencontre a déploré la situation actuelle du pays, qui selon lui est marquée par un recul sur de nombreux plans, notamment la démocratie.
Jetant des pierres dans le jardin de qui vous savez, Gorgui a expliqué à nos confrères de Walf que les sénégalais n’ont pas choisi des gouvernants pour qu’ils leur indiquent la voie de la régression. 

Coopération parlementaire : Moustapha Niasse reçoit son homologue Justin Koumba du Congo

Le président de l’Assemblée nationale de la République du Congo, Justin Koumba a été accueilli hier vers les environs de 20 heures, à l’Aéroport international Léopold Sédar Senghor par son homologue du Sénégal, Moustapha Niasse. Une visite purement technique, selon l’hôte de Moustapha Niasse. A son arrivée à Dakar, le président de l’Assemblée nationale du Congo a déclaré que son déplacement s’inscrit dans le cadre d’une visite purement technique pour voir les aspects sur  les deux conférences prévues dans son pays très prochainement. « Je suis venu pour recueillir des conseils », a-t-il dit. Ce voyage est en prélude de la 22e session de l’Assemblée régionale Afrique et  à la conférence parlementaire sur  le dérèglement climatique, prévues au Congo.

Sénégal - Atteinte à la sûreté de l’Etat - Macky Sall invité à supprimer l’article 80

Certains pays membres des Nations unies reviennent à la charge et demandent la suppression de l’article 80 Tout comme la légalisation de l’homosexualité, le Sénégal a été invité par les Nations unies à supprimer l’article 80 du Code pénal (atteinte à la sureté de l’Etat) qui permet au président de la République d’emprisonner des leaders d’opinion et opposants politiques, au nom de la raison d’Etat. C’était lors du second passage à l’Examen périodique universel. Au nom des droits humains, les Nations unies ont demandé au Sénégal de supprimer «l’article 80 du Code pénal relatif aux atteintes à la sureté de l’Etat». Cette invite a été formulée par plusieurs pays membres de l’Organisation des nations unies (Onu), avec notamment les Etats-Unis, la France, la Suisse, l’Espagne, la Roumanie, le Mexique, la Grèce, ainsi que des Etats africains. C’était lors du deuxième passage du Sénégal devant le groupe de travail sur l’Examen périodique universel (Epu), le 21 octobre dernier, à Genève.

IDRISSA SECK TACLE ENCORE LE CHEF DE L’ETAT

«Macky a rompu le contrat qu’il avait signé avec le peuple sénégalais» L’ancien Premier ministre ne rate plus aucune occasion pour s’en prendre à Macky Sall et à son régime. En visite hier à Guédiawaye, Idrissa Seck a raillé la rupture prônée par le chef de l’Etat. La seule rupture opérée par Macky Sall, affirme-t-il, c’est celle du contrat qu’il avait signé avec les Sénégalais. Non sans dénoncer l’immixtion de la famille du président de la République dans la gestion de l’Etat. Venu hier à Guédiawaye pour rendre visite aux militants de la coalition de l’opposition «Boolo Taxawu Askan wi» dont sa formation politique est membre, le leader du parti Rewmi, Idrissa Seck n’a pas été tendre avec son ancien frère de parti Macky Sall, actuel chef de l’Etat. Le patron du Rewmi s’est encore violemment attaqué à la gestion de Macky Sall à la tête de l’Etat depuis deux ans. «Il y a une seule rupture que Macky Sall a réalisée, c’est sa rupture avec le peuple sénégalais.

Cheikh Hadjibou Soumaré, Président de la Commission de l'Uemoa : "A nous de donner des gages aux investisseurs, car ils ne viendront mettre leur argent que dans un environnement sécurisé(...)"

Interpellé sur l'environnement des affaires on ne peut plus morose, le Président de la commission de l'Umeoa a laissé entendre : "cela reste l'un de nos principaux défis. Le secteur privé a bien sûr un rôle très important à jouer . Seuls les partenariats public-prive (Ppp) peuvent nous permettre d'investir dans l'eau, l'énergie ou les transports."