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Chasseur de primes
L’avocat franco-libanais, obsédé par la Françafrique, a encore une fois décidé de revêtir sa tunique de Nessus. Mais cette fois, ce n’est pas pour revenir sur les «mallettes de la République» dont le but savamment orchestré était d’écarter un certain Dominique De Villepin de la course à la présidentielle française de 2012 et d’enfoncer Jacques Chirac.
TRAQUE DES BIENS MAL ACQUIS Chronique d’une libération orchestrée
Karim Wade ira finalement en procès dans maximum deux mois pour justifier le patrimoine qu’on lui attribue. La Crei rendra publique aujourd’hui cette décision. Celle-ci à tout l’air d’un échec pour tous ceux qui, depuis longtemps, s’agitent pour la libération du fils de l’ancien président de la République. Ils ont ces derniers jours, semaines ou mois, posé un certain nombre d’actes qui convergent vers la libération du «prisonnier de luxe ». Le procès annoncé est loin d’entamer leur ardeur : « ils ne lâcheront pas le morceau », pour parler de manière triviale.
CREI - Réquisitoire du Procureur spécial : Alioune Ndao livre Karim au juge
Le Parquet spécial près la Crei a requis lundi la traduction de Karim Wade en jugement pour enrichissement illicite. Mais aussi Bibo Bourgi et consorts, pour complicité d’enrichissement illicite. Toutes les oreilles sont tendues vers Cheikh Tidiane Bèye, qui décidera du sort de Karim Wade et Cie au plus tard demain.
Un procès pour Karim et ses coinculpés. C’est ce que propose le Parquet spécial près la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).
Karim Wade, Cheikh Diallo et la CREI : Le diable est dans le détail - Par Hélène Della Chaupin
Il paraît que le compte à rebours a commencé pour Karim Wade et que ses avocats ont trois jours francs pour consulter son dossier et préparer sa défense. C'est la presse qui nous l'apprend. A mon sens, le compte à rebours pour Karim a commencé bien avant sa première mise en demeure en avril 2013. Il a commencé bien avant même mars 2012, date à laquelle le Président Wade a été battu aux élections. Le compte à rebours a commencé pour Karim Wade le jour de l'accession de Maître Abdoulaye Wade au pouvoir, un certain 19 mars 2000. Son père devenu Président, Karim devenait aussi fils de... Et depuis...La presse, revenons-en et restons un peu avec elle, puisse que c'est d'elle qu'il s'agit encore.
Karim Wade au cœur des déballages
L'OBS - Les confrontations qui ont eu lieu avant-hier à la commission de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) ont été riches en révélations. Bref, les uns ont préféré faire des déballages pour échapper à la prison, les autres ont campé sur leur position. Voici quelques extraits des confrontations entre Mamadou Pouye, Patricia Lake Diop, Eli Manel Diop et Cheikh Ahmed Tidiane Ndiaye.
CREI - La défense a trois jours pour consulter le dossier d’accusation : Compte à rebours pour Karim
Trois jours. C’est le temps que la Commission d’instruction de la Crei donne aux avocats de Karim Wade pour consulter le dossier de leur client avant la clôture de l’instruction. Et d’ici le 17 avril, l’ancien ministre d’Etat connaîtra son sort : un non-lieu ou un renvoi devant la Cour.
C’est le compte à rebours pour Karim Wade.
KARIM WADE - « Je ne réponds à aucune de vos questions »
L'OBS - Du fond de sa cellule, Karim Wade, le fils de l’ancien président de la République a pris sa plume pour tremper sa rage sur les membres de la Commission de répression pour l’enrichissement illicite (Crei). Les mots de Karim sont des grenades dégoupillées, ses verbes de gros cailloux largués au siège de la Crei, sis à l’Avenue Cheikh Anta Diop. Karim vide tout son saoul sur certains membres de cette institution judiciaire, qu’il récuse par la force de ses muscles. Karim se pose en victime en raison de ses droits bafoués par une répression. «La commission d’instruction de la Crei persiste dans la violation de mes droits de la défense et plus particulièrement de l’article 105 du Code de procédure pénale qui dispose que le dossier complet doit être mis à la disposition de mes avocats au plus tard 24 heures avant mon audition», peste-t-il. La bave à la bouche, le fils du Président Abdoulaye Wade estime que la Haute Cour de Justice est seule compétente pour l’entendre ainsi que ses présumés complices et témoins.
Audition de l'ancien ministre à la Crei: Karim Wade, ses avocats, le juge et le procureur
Sur les 61 questions posées jeudi dernier à Karim Meïssa Wade, lors de son audition dans le fond, 54 sont de la Commission d’instruction (Ci) de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) et 7 du substitut du Procureur spécial. En général, elles tournaient autour de son opinion sur le montage de telle ou telle société et la nature exacte de ses relations avec des témoins à charge, déjà entendus.
N’ayant manifestement aucune preuve palpable contre l’ancien ministre, malgré 19 commissions rogatoires et 80 auditions, les juges de la Crei après avoir «conclu» que Bibo Bourgi, son frère Karim Aboukhalil et Mamadou Pouye étaient les bénéficiaires économiques des principales sociétés supposées appartenir au fils de Wade, ont fini par lui demander si ces derniers n’étaient pas ses prête-noms.
Karim Wade aux juges de la Crei-«Je ne réponds à aucune de vos questions»
iGFM (Dakar) «Je ne réponds à aucune de vos questions, et ne peux participer à une parodie de justice», a dit Karim Wade vaux juges de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), si l’on en croit une déclaration publiée par ses proches. Et c’est le journal quotidien qui rapporte l’information. Le fils du Président Wade et ancien ministre se considère comme «un otage politique des nouvelles autorités sénégalaises» qui, selon lui, souhaitent l’empêcher de se présenter à la prochaine élection présidentielle.
BIENS MAL ACQUIS - Acculé par le Parquet spécial : Bibo endosse le Krim
Les commissions rogatoires envoyées au Luxembourg et à Monaco ont ramené une belle moisson qui a permis de confondre l’homme d’affaires Ibrahima Khalil dit Bibo Bourgi et son compère Papa Amadou Pouye. Leurs dénégations n’ont pas résisté à la force des preuves matérielles, et Bibo a néanmoins essayé de préserver Karim Wade qui passe, lui, aujourd’hui devant la même commission.
Les rapports des commissions rogatoires de Monaco et du Luxembourg ont été terribles pour Ibrahim Khalil dit Bibo Bourgi, avant-hier devant les juges de la commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei).