Des religieux…
L’affaire de Charlie Hebdo ne laisse pas indifférent le Conseil supérieur islamique (Csi). En tant qu’humains et musulmans, ces défenseurs de l’islam ont condamné cet acte qu’ils jugent anticonformiste. Ils ont, en ce sens, invité les chefs religieux du Sunugaal à vulgariser un modèle musulman à leurs disciples afin d’éviter que pareille situation ne se produise ici. «C’est dommage que l’être humain soit insuffisant à telle enseigne qu’il commette des erreurs. Ceux qui tuent nuit et jour et qui se prennent pour des musulmans ne le sont pas. Ce sont des fils de Satan. Allah n’a jamais délégué à quiconque de faire justice, car le jugement est le propre du divin. Même si la Charia existe, il est important de signaler qu’il y a des règles et des préceptes qu’il faut respecter. Nous ne sommes pas d’accord avec ce qui s’est passé en France en tant qu’humain, mais aussi en tant que musulman. Je le condamne énergétiquement », a déclaré Mourchid Iyane Thiam.
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MAME LESS CAMARA, JOURNALISTE, ANALYSTE POLITIQUE «IL N’Y A PAS DE RABIOT DANS UN MANDAT DÉMOCRATIQUE»
Le débat sur la réduction du mandat du président de la République de sept à cinq occupe le devant de l’actualité politique sénégalaise. Si Moustapha Cissé Lô et Jean Paul Dias sont les plus constants dans la défense d’un septennat, nonobstant la volonté solennellement exprimée, répétée et réaffirmée de Macky Sall, la sortie du ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l'Aménagement du territoire, porte-Parole du Gouvernement, Oumar Youm, lui donne plus de tonus. Si le dédit semble très peu probable, l’APR, avec la bénédiction de son président Macky Sall, n’écarterait pas l’idée de battre campagne pour le NON. Une hypothèse qui serait sans conséquences, selon Mame Less Camara. Dans un entretien accordé à Sud Quotidien, le journaliste, formateur, analyste politique, est formel. «Il n’y a pas de rabiot dans un mandat démocratique», déclare-t-il, en précisant que «la réduction du mandat est un problème d’honneur» auquel le Chef de l’Etat est contraint de se plier, s’il ne veut pas ruiner ses chances de second mandat.
Candidat de rechange à Karim Wade au Pds: L'option Idrissa Seck agitée
Désigné candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour la prochaine Présidentielle, Karim Wade ne devrait finalement pas prendre part à ce scrutin. Condamné à 06 ans de prison ferme, l'ancien ministre d'Etat pourrait rester derrière les barreaux jusqu'en 2019. Au Pds, on pense à une solution de rechange au fils de Wade pour faire face à Macky Sall en 2017. Et l'option Idrissa Seck est déjà agitée.
Des retrouvailles entre Me Abdoulaye Wade et Idrissa Seck ne sont pas écartées avec comme but, porter le choix sur l’actuel Président du Conseil départemental de Thiès, comme candidat du Pds en 2017. Selon Grand Plae, Wade n’écarterait pas ainsi, l’option du fils d’emprunt pour remplacer le fils biologique.
Sénégal - Karim Wade candidat du Pds pour la présidentielle de 2017
Le bureau politique du Parti démocratique sénégalais (Pds), transformé en congrès extraordinaire ce samedi, a porté son choix sur Karim Wade pour représenter le parti à la présidentielle de 2017.
Bureau politique et primaires du pds, ce samedi Karim Wade en roue libre !
La réunion du bureau politique du Pds de ce jour, samedi 23 mars, semble bien partie pour consacrer le choix de Karim Wade contre candidat du Pds à la présidentielle de 2017. Contre vents et marées, en guerre ouverte avec la Crei et le régime de Macky Sall, Me Abdoulaye Wade se risque à forcer la main à tout l’establishment libéral pour imposer son fils déjà plébiscité comme porte-étendard des libéraux pour 2017, par tous les courants et mouvements affiliés au Pds, Voire même par les candidatures de façade ou les faire valoir qui se sont mis en lice pour accréditer la « légalité » et le caractère réglementaire de son choix, au cours de ces primaires.
Candidature de Karim Wade, à la présidentielle de 2017 botte secrète de Wade pour faire libérer son fils
Les libéraux du Parti démocratique sénégalais (Pds) envisagent d’investir, le 20 mars prochain, Karim Wade candidat à la présidentielle de 2017. Cela, à trois jours du verdict annoncé par la Crei (23 mars), dans le cadre de la traque des biens dits mal acquis. L’enjeu est de présenter l’ancien ministre d’Etat, aux yeux de l’opinion, comme un «prisonnier politique». Et susciter des manifestations de rue pour sa libération. C’est le schéma tracé par des sources proches des instances du Pds.
Sénégal - En route pour la présidentielle de 2017 Macky «structure» bennoo
En route pour 2017, Macky Sall semble peaufiner de plus de plus la dynamique Bennoo qui l’a porté au pouvoir en 2012. Au deuxième séminaire de la mouvance présidentielle qui s’est tenu samedi dernier, il a ainsi annoncé la programmation de la fameuse structuration de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar pour samedi prochain. Non sans inviter ses alliés de la seconde heure à un vaste rassemblement derrière sa… personne.
Pluralité de candidatures au sein de BBY pour la présidentielle 2017- Macky pris à son propre jeu
Investiture du candidat en 2017 et du secrétaire général du pds Fada dégage les pistes
Les procédures d’investitures du candidat à l’élection présidentielle de 2017 et du secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (Pds), doivent être distinctes. C’est la conviction de Modou Diagne Fada, président du groupe parlementaire des libéraux et démocrates à la 12ème législature, qui estime qu’il y a des gens qui sont intéressés soit par l’un, soit par l’autre. Il a par ailleurs jugé opportun de créer au préalable une commission indépendante, pour la réception des candidatures et une autre chargée des recours éventuels à trancher.
Sénégal - Succession annoncée de Wade au congrès du pds en août les libéraux apportent la précision
Le congrès d’investiture du Parti démocratique sénégalais, convoqué en août prochain n’a pas pour objet de statuer sur la succession de Me Wade à la tête du Pds. Interpelés sur la question, le coordonnateur national du Pds, Oumar Sarr de même que, Babacar Gaye, porte-parole de cette formation politique ont indiqué que la succession du secrétaire national se fera lors d’un congrès de renouvellement.
Sénégal - Mouvance présidentielle chronique d’un divorce annoncé
La coalition présidentielle Bennoo Bokk Yaakaar serait-elle en train d’entonner son champ du cygne? A quelque deux années de l’échéance électorale de 2017, tous les signaux sont en train de virer au rouge dans le compagnonnage entre le parti au pouvoir et ses principaux alliés de mars 2012 qui affichent de plus en plus leur ambition de s’emparer du fauteuil présidentiel. Après le Rewmi d’Idrissa Seck qui a divorcé depuis lors d’avec Macky Sall, voilà que le Parti socialiste d’Ousmane Tanor Dieng, pour avoir réitéré sa constance dans la conquête du pouvoir, s’est pratiquement engagé dans une sorte de bras de fer ouvert avec le parti présidentiel. Qui plus est, l’Afp de Moustapha Niasse qui s’était engagé à soutenir Macky Sall en 2017 serait sur le point de reconsidérer sa position, selon certaines indiscrétions, du fait de la fronde et de la levée de boucliers de plus en plus manifeste de certains responsables «progressistes», opposés à la mort clinique de leur parti décrétée par le président de l’Assemblée nationale