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Sam, Avr
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Réponse du Porte-parole du Gouvernement aux allégations de la Présidente de Amnesty Sénégal : Mauvaise foi ou ignorance ?

La question des droits humains fait partie des sujets de débat inépuisables par nature. Par ce fait, le « secteur » d’intervention a capturé les énergies intellectuelles d’une grande partie des acteurs de la société. 

 

Ce dynamisme remarqué semble n’être pas assorti toujours, d’interventions objectives, utiles et responsables, de la part de certains acteurs engagés sur la question.

CONSOLIDATION DÉMOCRATIQUE ET RESPECT DES LIBERTES PUBLIQUES Macky Sall «retrace » sa ligne de conduite

Le président de la République, Macky Sall, en sa qualité de Gardien de la Constitution, a hier, en conseil des ministres, «réitéré sa ligne de conduite qui consistera toujours à veiller scrupuleusement à la consolidation de la renommée de notre démocratie et au respect des libertés publiques, conformément aux lois et règlements en vigueur ». Il se prononçait sur ce que le Chef de l’Etat a appelé « l’impératif républicain de respect des libertés publiques  en rappelant «le statut d’Etat de droit et de démocratie confirmée du Sénégal».

SILENCE DE L’ EX- PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE : Me Wade, entre bluff et pressions maraboutiques

Si le silence observé depuis quelques jours par Me Wade intrigue, il pourrait être lié à un dégel où à une pause dans le combat promis contre Macky Sall, mais aussi aux discours des marabouts et du clergé en faveur de la paix civile.

Ils sont nombreux à s’interroger certainement sur le silence subit de l’ancien président de la République, depuis quelques jours. Accueilli en grande pompe à son retour à Dakar le 25 avril dernier, Me Abdoulaye Wade  s’était montré très agressif vis-à-vis de Macky Sall et de son régime à son meeting d'arrivée tenu à la permanence du Pds. 

Regard : Macky Sall décidé à nettoyer la présidence

Le président Macky Sall a démontré depuis son exercice du pouvoir qu’il est du genre à aller jusqu’au bout quand il prend une décision. La traque des biens mal acquis en est une illustration. Suite à la décision de certains de ses alliés à faire cavalier à part pour les prochaines élections locales, il a pris l’option de nettoyer le palais de la République. 

Les avocats de Karim accusent la Crei de «torture» : «Notre client est privé de visites depuis trois semaines»

Karim Wade a été privé de visite depuis trois semaines si l’on se fie à ses avocats. Dans un communiqué rendu public hier, les conseillers du fils de l’ancien Président Abdoulaye Wade ont dénoncé ce qu’ils appellent «des actes constitutifs de torture au sens du droit international des droits de l’homme».

L’interdiction de visite a précédé le retour de l’ancien chef d’Etat au pays. «Depuis trois semaines, la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), refuse de délivrer des permis aux personnes désirant rendre visite à Monsieur Karim Wade, la seule explication fournie étant qu’il s’agit d’instructions provenant de la hiérarchie»,  regrette les avocats de l’ancien ministre d’Etat dans le texte.

Se disant filé et persécuté par un groupe d'individus inconnus armés de pistolets automatiques- Farba Senghor porte plainte contre X devant le Procureur

Se disant filé et persécuté par un groupe d'individus inconnus armés de pistolets automatiques- Farba Senghor porte plainte contre X devant le Procureur

iGFM (Dakar)  “Depuis quelques jours, M. Farba Senghor , ancien ministre de Me Abdoulaye Wade secrétaire général du Parti démocratique sénégalais (Pds) et sa famille sont filés et persécutés par un groupe d'individus inconnus armés de pistolets automatiques” lit-on dans un message publié ce matin par Farba Senghor sur sa page facebook. 


 A l’en croire, ces individus bouclent du matin au soir tout son quartier Biagui 2 Aéroport de Dakar et sont postés sur toutes les voies qui menent chez lui et aux alentours de sa maison. Ils importunent les membres de la famille et les riverains . 

Filature et harcèlement : Qui en veut à Farba Senghor ?

Le tonitruant Farba Senghor a fait part à nos confrères de La Tribune de faits graves, s'ils sont avérés. En effet, selon le forban de Me Abdoulaye Wade, des " étrangers ", qui ne parleraient que l'anglais, seraient postés depuis plusieurs jours aux alentours et sur les voies menant à son domicile de la cité Biagui. Parmi ceux-ci, un individu qui porterait des rastas et un chauve, qui auraient même tenté de s'introduire chez lui. Certains d'entre ces étrangers ne cessent, selon Farba Senghor, d'interroger les membres de sa famille pour connaître les positions de l'ancien ministre. Ces individus, " armés ", pourraient être, selon Farba, des policiers en civil ou des détectives privés. Il a décidé de porter plainte contre X devant le procureur de la République.

Les avocats de Karim Wade accusent l'État d'actes de tortures...

Les avocats de Karim Wade ne veulent plus se laisser faire. Ils portent à la connaissance et prennent à témoin l'opinion publique nationale et internationale que « l'Etat du Sénégal vient de franchir un nouveau pas dans la violation de ses engagements internationaux et la négation des droits de l'homme ». Cette situation est liée à la décision de priver au fils de l'ancien président de la République  « toute visite de la part de sa famille, de ses proches, de ses amis et de ses soutiens » selon ses avocats.

Ils soutiennent que « depuis trois (03) semaines, la Cour de Répression de l'Enrichissement illicite (CREI) refuse de délivrer des permis aux personnes désirant rendre visite à Monsieur Karim Wade, la seule explication fournie étant qu'il s'agit d'instructions provenant de la hiérarchie ». De l'avis de ses avocats, l'isolement dont il est frappé est constitutif d'actes de tortures au sens du droit international des droits de l'homme.

POUR LA SAUVEGARDE DE LA PAIX CIVILE ET LA SECURITÉ DES PERSONNES: Le Rnd «place» Me Wade…en résidence surveillée

Le Rassemblement national démocratique (Rnd) du Dr Dialo Diop est formel sur le retour du « Pape du Sopi » au Sénégal. « Il est devenu nécessaire et urgent de mettre hors d’état de nuire le provocateur de troubles Abdoulaye Wade. Ce qui signifie qu’il faut immédiatement l’interpeller et le placer en résidence surveillée, avant de le déférer devant la Haute Cour de Justice pour haute trahison, atteinte à la sûreté de l’Etat et à l’ordre et la tranquillité publics ». Il ne s’agirait là, selon le parti héritier de Cheikh Anta Diop, que d’une mesure de sauvegarde de la paix civile et de la sécurité des personnes et des biens, ce qui relève évidemment pour lui de la responsabilité des autorités étatiques.