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Accords de coopération, redéploiement du personnel… : Quel sort sera réservé à l’héritage des régions ?

A Saint-Louis : Les travailleurs du Conseil régional plaident pour la sauvegarde de leur emploi
S’il y a des sénégalais qui ne veulent pas entendre parler de l’Acte 3 de la Décentralisation, ce sont bien les membres du Collectif des travailleurs du Conseil régional de Saint-Louis qui regroupe 26 agents permanents et contractuels.
Pour le président de ce Collectif, Demba Bâ, « cette réforme administrative, c’est l’Acte Zéro. Nous attirons l’attention du peuple sénégalais sur le sort qui sera réservé aux travailleurs des Conseils régionaux, suite à l’adoption et à la promulgation de cette réforme ». Selon lui, c’est un acte qui, désormais, consacre à notre pays deux ordres de collectivités locales et en supprime l’existence des régions comme instance locale. Les agents des Conseils régionaux n’adhérent pas totalement à ce choix politique de l’actuel régime.

Le coordonnateur de la marche avortée des souteneurs de Karim Wade déféré ;L'histoire secrète de Demba Dang

DAKARACTU.COM- Alpagué puis déféré  au même titre que trois de ses acolytes, celui qui a voulu organiser il y a quelques jours une marche de protestation réclamant la libération de Karim Wade se nomme Demba Dang. 
Si pour d'aucuns, particulièrement ses pourfendeurs, il ne serait qu'un activiste qui s'agite singulièrement aux fins de séduire Wade fils, d'autres soutiennent le contraire. 
Selon les détracteurs de Demba Dang, il aurait également tenté de se remplir les poches avec cette marche ratée.

Laser du lundi : Besoin de réforme constitutionnelle ou d’électrochoc civique ? (Par Babacar Justin Ndiaye)

Au Sénégal, le tumulte nourrit visiblement la démocratie exactement comme la sève nourrit la plante. C’est là un signe indiscutable de vitalité démocratique (le silence est l’apanage de la dictature) mais aussi la marque d’une frénésie vaudevillesque. Car tout ce qui est excessif est évidemment  insignifiant. A propos du Rapport de la Commission nationale de Réforme des Institutions (CNRI), les passions croisées sont si aveuglantes qu’elles chassent in fine les évidences les plus himalayennes.

Ça râle ferme contre une gestion presque familiale du Port Autonome de Dakar: Amadou Yaya Sarr, le DRH, place ses deux rejetons et installe le malaise.

DAKARACTU.COM ''La patrie avant le parti'' avait annoncé Macky dès son arrivée au perchoir de la République. "Moi, c'est ma famille d'abord'' semble lui avoir répondu Amadou Yaya Sarr. L'homme qui est le Directeur des ressources humaines du port autonome de Dakar a crée un malaise au sein cette famille. En quoi faisant ? Eh bien, en recrutant d'office deux de ses rejetons, alors que lui-même devait aller à la retraite depuis 2012. 

Suppression de la Primature, Sursis pour Mimi ?

Suppression de la  Primature, Sursis pour Mimi ?

iGFM (Dakar) Sera mis «en place une Delivery Unit au sein de mon Cabinet, articulée à la Primature et aux points focaux des ministères, pour assurer le suivi-évaluation du plan Sénégal Emergent tant au niveau de l’orientation stratégique que du monitoring des projets», voici le petit bout de phrase qui n’a pas échappé à l’attention de nos confrères du magazine Nouvel Horizon dans l’allocution du de Macky Sall devant le Groupe consultatif à Paris. 

Les terribles révélations de Massaly: "Macky Sall me remettait 2 millions FCFA chaque weekend (...)"

DAKARACTU.COM Revoilà le tonitruant Mohamed Lamine Massaly, qui n'est plus à présenter ! En tous les cas, il ne faut surtout pas rater l'émission très suivie, intitulée "Sen Jotay" qui passe ce soir à 20 heures sur le canal D Médias. Saisissant l'opportunité offerte, ce jeune Thiessois n'a pas raté, du tout alors le "Macky", au premier chef l'actuel "homme  fort du Sénégal".  

Limitation des partis politiques : Comment rationaliser sans enfreindre le droit d’association ?

Créer un parti politique au Sénégal s’apparente à une course effrénée à laquelle se livrent bien des personnes. Qu’est-ce qui les poussent à s’orienter dans la politique ? Quelles sont leurs réelles motivations ? Sont-elles toutes intéressées par les affaires de la cité ? Rien n’est moins sûr. Mais le constat est là : il existe, à l’heure actuelle, pas moins de 224 formations politiques légalement constituées, reconnues par les services du ministère de l’Intérieur. Excessif ! Le mot n’est pas de trop. Pour la classe politique et pour bon nombre de citoyens sénégalais, il y a une part d’exagération et un manque de conviction chez certains initiateurs. Toutefois des solutions sont émises par-ci et par-là tendant à freiner un phénomène à la mode. Mais comment limiter sans remettre en cause un droit acquis depuis 1981 à travers le multipartisme intégral ? That is the question.  

Mathurin Coffi Nago, président de l’Assemblée nationale du Bénin : « Nous repartons très enrichis »

Suite aux séances de travaux de cinq tours d’horloge avec son homologue sénégalais Moustapha Niasse, le président l’Assemblée nationale du Bénin, Mathurin Coffi Nago, a soutenu que le débat était très franc.

« Nous repartons du Sénégal très enrichis et très confiants en l’avenir de la Conférence des présidents d’Assemblées d’Afrique de l’Ouest (Cpaao) pour laquelle nous sommes venus », a soutenu le président de l’Assemblée nationale du Bénin.

POLITIQUE D'UNE LANGUE OFFICIELLE UNIQUE Un frein à la démocratie et au développement

Appliquée dans la plus part des Etats africains, la politique d'une langue unique officielle est considérée comme un frein à la démocratie et au développement, selon de nombreuses études. Une théorie entièrement approuvée par l'ensemble des panélistes prenant à la table ronde, initiées par le Réseau Lexicologie, Terminologie, Traduction  (Ltt), sur le thème : «Les expériences de traduction et d'interprétation en milieux multilingues et les enjeux d'une formation universitaire». La rencontre, qui entre dans le cadre de la célébration hier, vendredi 21 février 2014 à l'Ucad II, de la Journée internationale des langues maternelles, a servi de cadre aux différents participants pour faire un plaidoyer en faveur d'une pluralité de langues officielles au Sénégal.

Comment les éléments de la SR ont arrêté Cheikh Gadiaga

DAKARACTU.COM Alea Jacta Est ! Cheikh Gadiaga est finalement tombé. Cet aigrefin, qui avait escroqué, il y a quelques temps de cela, l'homme d'affaires Cheikh Amar, en lui miroitant un besoin pressant d'argent du Premier Ministre, a donc été mis aux arrêts par les éléments de la Section Recherches. 

Nous tenions de bonnes sources que Cheikh Gadiaga, qui se faisait passer souvent pour un jeune "Mbacké Mbacké", notamment avec son habillement identique à un marabout, agrémenté de l'imitation parfaite de l'accent d'un "Mbacké Mbacké" , séjourne à Dakar depuis presque une semaine.