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Lun, Mai
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 Le Tribunal de grande instance de Dakar statuant en matière correctionnelle dans le cadre de l’affaire dite de la caisse d’avance de la mairie de Dakar a rendu hier, vendredi 2 février, son verdict concernant les exceptions de nullités soulevées par la défense. Dans son ordonnance, le tribunal a rejeté la plupart des exceptions avant de verser les autres dans le fond du dossier.  Résultats : la Cour s’est déclarée compétente à juger de l’affaire, a rejeté la demande de liberté provisoire ainsi que le cautionnement de Khalifa Sall, tout comme elle a débouté toute violation de son immunité parlementaire avant de donner rendez-vous à lundi pour entrer dans le fond du dossier. 

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L’Etat du Sénégal, comme à son habitude, a fait croire que «Karim Wade et Cie perdent à Monaco».

Ce mensonge d’Etat ne reflète pas les termes du jugement rendu par le tribunal de Monaco le 25 janvier 2018.

A cet égard les avocats de Karim Wade tiennent à apporter les précisions ci-après :

1. En vérité, le jugement rendu par le tribunal de Monaco a ordonné la mainlevée immédiate de la saisie-arrêt effectuée par l’État sur le compte de Karim Wade.

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 Les avocats de la partie civile ont formellement récusé les exceptions de nullités soulevées par leurs confrères de la défense dans le cadre du procès opposant Khalifa Sall à l’Etat du Sénégal au sujet de l’affaire dite de la caisse d’avance de la mairie de Dakar. Invités hier, vendredi 26 janvier, à apporter la réplique devant le Tribunal de grande instance statuant en matière correctionnelle sur cette affaire, Me Yérim Thiam et cie accusant leurs collègues de chercher à retarder le jugement ont plaidé le rejet de tous les cas de violation de la procédure soulevés par la défense. Prenant la parole en premier pour apporter la réplique aux exceptions de nullité de la procédure soulevées par la défense, Antoine Felix Diome, agent judiciaire de l’Etat, a tout simplement invité la Cour à les rejeter toutes.

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Me El Hadji Diouf a encore fait parler de lui pour ne pas dire qu’il a fait son show. Lors de sa plaidoirie pour légitimer la constitution de partie de la mairie de Dakar dont il est le conseil, le tonitruant avocat s’est livré par piques assassines contre Macky Sall. Qu’il a accusé sans le citer nommément, d’avoir orchestré un « complot » contre Khalifa Sall pour l’empêcher de se présenter à la présidentielle. « En voulant obtenir la tête d’une personne, on finit par perdre la tête », lance-t-il. Le Préfet de Dakar et Me Yerim Sow en ont aussi reçu leur dose de piqûre. « Après avoir accompli de sales boulots à Thiès, il s’est fait affecter à Dakar. Là aussi, il prêt à tout, espérant un poste de gouverneur », crache-t-il à l’endroit du premier nommé, pour avoir pris un arrêté demandant au Conseil municipal de faire une seconde lecture de sa constitution de partie civile.

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«Un procès équitable n’est pas garanti pour le maire de Dakar Khalifa Sall et ses co-prévenus. Les droits de la défense ont été violés du début à la fin de la procédure. Khalifa Sall est victime d’une cabale politico-judiciaire », plaidaient les avocats de la défense, pour demander au juge Malick Lamotte de prononcer la nullité de la procédure.

« J’avoue que j’ai été peiné durant ses trois jours. En une minute monsieur le juge, je peux vous démontrer que les exceptions de nullité soulevées par la défense sont irrecevables parce qu’ils ne se sont que d’ordre privé et non d’intérêt public. Je requiers qu’ils vous plaise monsieur le juge de les déclarer irrecevables », tonne le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye.

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Le procès du maire de Dakar Khalifa Sall et ses co-prévenus poursuivis pour des faits présumés de détournement de deniers publics, a repris ce vendredi devant le tribunal correctionnel. Les avocats de la défense continuent de soulever des exceptions de nullité de la procédure qu’ils ont engagée depuis hier.

Prenant la parole pour faire sa plaidoirie, Me Ciré Clédor Ly qui estime à l’image de ses confrères que la détention du premier magistrat de la ville de Dakar est arbitraire, a même formulé une demande de mise en liberté provisoire pour son client.
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Même si le procès qui a été reporté deux fois (14 décembre 2017 et 3 janvier 2018), a commencé aujourd’hui, l’édile de Dakar espère jouer son va-tout devant la cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO;) qui devrait statuer à Abuja, au Nigeria, le mardi 30 janvier avec, comme récrimination, le dédommagement de 50 milliards FCFA pour détention abusive. 
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Un avocat de la partie civile interdit de plaider devant un tribunal, pour s’être comporté en défenseur des prévenus. C'est la mésaventure qui est arrivée à Me El Hadji Diouf, devant le Tribunal spécial de Grande instance statuant en matière correctionnelle, où sont attraits Khalifa Sall et Cie. Le conseil, commis par la municipalité de Dakar, a été exclu d'office du procès du Maire de la Ville.

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 Le procès opposant l’État du Sénégal à l’édile de Dakar, Khalifa Sall, et coaccusés dans l’affaire dite de la caisse d’avance de la mairie a repris hier, mardi 23 janvier après son renvoi en début de mois. Pour ce premier jour du procès, les différends acteurs, notamment le procureur de la République, l’agent judiciaire de l’État et ses avocats, ainsi que les conseils de la défense, sans oublier les conseils de la ville de Dakar se sont relayés à la barre pour plaider pour ou contre la constitution de partie civile des conseillers de la collectivité de Dakar. 

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Se prononçant sur la recevabilité de la constitution de l’État du Sénégal comme partie civile, Ciré Clédor Ly, connu pour être un grand procédurier a invoqué que le Code des collectivités locales (CCL) qui interdirait à l’État de se constituer partie civile au nom de la Ville de Dakar, tout comme le décret n°70-1216 du 7 novembre 1970 portant création d’une Agence Judiciaire de l’Etat et fixant ses attributions.

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"La parole est à monsieur l'Agent judiciaire de l'Etat", a annoncé Malick Lamotte, le président du tribunal qui juge l'affaire de la caisse d'avance et, instantanément, le silence est tombé sur une salle d'audience assez comble.

L'attention, cet hommage du public que guette tout juriste lorsqu'il se lève pour plaider, s'est maintenue pendant plus d'une demi-heure, ce vendredi.

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Après une rude bataille judiciaire sur les constitutions de partie civile de l'Etat du Sénégal et de la mairie de Dakar, en cette deuxième journée du procès du maire de Dakar Khalifa Sall et de ses co-prevenus devant le tribunal correctionnel, le président de la séance Malick Lamotte a finalement donné rendez- vous demain aux différentes parties, pour continuer leurs plaidoiries sur les exceptions soulevées de part et d'autre. Mais, il faut noter que la bataille entre les avocats des différentes parties ne s'est pas simplement limitée sur le terrain juridique.

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 Le premier acte de l’enquête sur la tuerie de Boffa Bayotte qui a fait 14 morts et 7 blessés a livré ses premiers secrets, hier, avec le placement sous mandat de dépôt de 16 personnes suspectées. Auditionnées par le procureur près du tribunal de grande instance de Ziguinchor  hier, vendredi, ces personnes poursuivies pour association de malfaiteurs, assassinat, détention et utilisation d’armes à feu sans autorisation, participation à un mouvement insurrectionnel,  ont été toutes envoyées en prison. D’autres suspects sont activement recherchés, nous confie une source. En attendant la suite de l’enquête, retour sur cette « longue journée» des 16 suspects de la gendarmerie au parquet par notre correspondant à Ziguinchor Ignace NDEYE Le journaliste René Capain Basséne  et quinze autres personnes arrêtées ont passé leur première nuit en prison.

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