Rapport de l'oms sur la prévention du suicide plus de 800 000 personnes meurent de suicide
L'organisation mondiale de la Santé a rendu public hier, vendredi 5 septembre 2014, son premier rapport sur la prévention du suicide. Si plus de 800 000 personnes meurent chaque année de suicide dont 75% sont commis dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. En atteste la région de l'Asie du sud-est où le taux de suicide est le plus élevé. A la considération de cette situation, l'Oms recommande aux pays touchés d'adopter une politique de réduction de l'accès aux moyens de se suicider.
Epidémie d’ébola : L’Oms liste 8 traitements et 2 vaccins à développer
Tandis que l’épidémie d’ébola ne cesse de s’étendre en Afrique de l’Ouest, l’Organisation Mondiale de la Santé (Oms) a proposé huit traitements ainsi que deux vaccins expérimentaux à développer au plus vite, à l’occasion d’une réunion organisée jeudi et vendredi à Genève.
La Communauté internationale tente d’accélérer sa riposte contre ébola. Quelque 200 experts se sont réunis, jeudi 4 septembre, à Genève pour analyser les «possibilités de production et d’utilisation» des différents traitements et vaccins proposés par l’Oms.
L'épidémie d'Ebola a fait plus de 1900 morts sur 3500 malades, selon l'OMS
Plus de 1 900 morts sur 3 500 malades. C'est le nouveau bilan de l'épidémie d'Ebola donné mercredi 3 septembre par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Elaboré cette semaine, il ne prend en compte que les cas confirmés dans les trois pays les plus touchés : la Guinée, la Sierra Leone et le Liberia. Le docteur Margaret Chan, qui a donné ce chiffre, a ajouté que "l'épidémie progressait".
Ce dernier bilan marque en effet une forte accélération de la mortalité puisque, la semaine dernière, l'OMS faisait état de 1 552 cas sur 3 069 cas confirmés. Le nombre de morts dans cette épidémie déclenchée en décembre 2013 est sans précédent depuis l'apparition du virus en 1976 et surpasse même la totalité des décès de toutes les flambées précédentes.
Ebola : les personnes en contact avec le jeune étudiant guinéen identifiées et mises sous surveillance
L’ensemble des personnes ayant été en contact avec le jeune Guinéen infecté par le virus Ebola ont été identifiées et mises sous surveillance, annonce le ministère de la Santé et de l’Action sociale.
Ebola : les personnes en contact avec le jeune étudiant guinéen identifiées et mises sous surveillance
‘’Elles (ces personnes) font l’objet d’un examen médical bi quotidien’’, précise le département de la Santé dans un Communiqué N°2 sur la fièvre à virus Ebola transmis dimanche à l’APS.
Matam : les talibés guinéens invités à ne pas se rendre dans leur pays pendant la Tabaski pour cause d’Ebola
Les Comités départementaux de gestion et d’évaluation de l’épidémie d’Ebola dans la région de Matam vont entreprendre un travail de sensibilisation pour amener les talibés guinéens à ne pas se rendre dans leur pays pour la célébration de la Tabaski, prévue début octobre, a appris l'APS.
Cette initiative a été prise, jeudi, lors d’une réunion présidée par le gouverneur de la région de Matam, Cheikh Kane Niane.
Dans le cadre de cette sensibilisation, les marabouts seront mis à contribution, a dit Doudou Sène, Médecin-chef de région, expliquant que l'initiative vise à leur éviter toute contamination une fois en Guinée où l'épidémie d'Ebola sévit depuis le début de l'année.
Croisade contre le virus ebola les journalistes mis à contribution
Le ministre de la santé et de l'action sociale a hier, lundi 1er septembre, rencontré les patrons de presse. L'objectif est selon Awa Marie Coll Seck d'impliquer les acteurs des medias dans la riposte contre l'épidémie d'Ebola à travers un traitement de l'information correcte et favorisant une maitrise de la situation afin d'éviter une psychose.
La presse indésirable à fann après la confirmation du premier cas Ébola
«Vous ne rentrez pas !». C'est la fin de non-recevoir opposée aux journalistes venus au Centre hospitalier national de (Chan) de Fann. Les services de sécurité postés à l’entrée de l'établissement ont opposé un niet catégorique. Ce, pour éviter tout commentaire sur les dispositifs de surveillance et de riposte mis en place au niveau de la Clinique des maladies infectieuses du Chan à la suite du premier cas de virus interné dans ce centre.
EBOLA - Ses jours n’étant plus en danger : Le malade guinéen libéré sous peu
Les derniers prélèvements effectués sur le malade guinéen, souffrant de la fièvre à virus ébola, devraient être disponibles d’un moment à l’autre. Des tests qui pourraient donner carte blanche aux responsables des maladies infectieuses de Fann, pour le libérer.
Le Sénégal a vaincu le virus ébola. C’est du moins la lecture qu’on peut avoir de l’état de santé du jeune étudiant guinéen, interné à la Clinique des maladies infectieuses de l’hôpital de Fann, depuis une semaine maintenant. Alors que son état clinique s’améliorait au fil des soins intensifs, il était question hier, de tester son niveau infectieux à l’Institut Pasteur de Dakar, avant d’établir un bilan devant lui permettre de retourner chez les siens, sans aucun risque de transmettre le virus à qui que ce soit.
EBOLA - Le Guinéen se rétablit : Les contacts du malade sous surveillance
Après la mise en quarantaine du malade souffrant du virus ébola et sa prise en charge sanitaire à Fann, sa concession a été entièrement désinfectée par le Service national de l’Hygiène. Aussi, l’ensemble des personnes ayant été en contact avec le patient ont-elles été identifiées et mises sous surveillance. Elles font l’objet d’un examen médical bi quotidien. Quant à la personne malade mise en quarantaine ; elle continue de recevoir un traitement approprié et son état général s’améliore, selon un communiqué du Msas.
"Le jeune guinéen ignorait, quand il quittait son pays, qu’il était porteur du virus Ebola"
Une série de tirs nourris est lancée depuis hier contre l’étudiant guinéen qui a introduit le virus Ebola dans notre pays. Pour d’aucuns, il mérite d’être mis sur le bûcher, pour avoir cherché à contaminer sciemment les Sénégalais. Pourtant, des sources sûres rapportent la vérité des faits en vue de calmer la clameur.