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Jeu, Mai
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Ebola: Comment le jeune étudiant guinéen a "importé" le virus au Sénégal

Selon les informations du journal Libération, le jeune étudiant guinéen, contrôlé positif au virus Ebola, a pour initiales M. A. Diallo. C'est mercredi matin que l'Oms (Organisation mondiale de la santé) a alerté les autorités sénégalaises sur la disparition, depuis trois semaines d'un étudiant atteint par le virus et qui serait au Sénégal.

"Il a eu un lien épidémiologique avec un jeune étudiant qui est venu de la Sierra Leone à Forécariah et qui est décédé juste après", a confié à Rfi, le colonel Remy Lamah ministre guinéen de la Santé. 

Premier cas confirmé : Dakar chope ébola

La décision prise par les autorités de fermer les frontières du Sénégal avec les pays qui font face à l’épidémie d’ébola n’a pas pu empêcher le pays d’enregistrer son premier cas. Originaire de la Guinée, un jeune porteur du virus a échappé à la vigilance des équipes de surveillance épidémiologique opérant en République de Guinée qui ont informé le ministère de la Santé de la présence de cette personne sur le sol sénégalais. Madame le ministre de la Santé et de l’Action sociale, en conférence de presse hier, a donné l’information. Elle a par la même occasion fait savoir que le patient a été mis en quarantaine et que des mesures ont été prises pour éviter la dissémination de la maladie.

Ebola: Une maison des Parcelles assainies mise en quarantaine par une équipe médicale

C’est la radio Zik fm qui donne l’information. Une maison de l’unité 7 des Parcelles assainies a été mise en quarantaine par une équipe médicale. Et il pourrait s’agir de la maison qui a abrité le premier cas du virus Ebola dans notre pays. Eva Marie Coll Seck a appelé ce matin au calme et à la sérénité en tentant d’apaiser les esprits de ses compatriotes, mais la peur, l’angoisse et l’inquiétude ont déjà envahi les cœurs des Sénégalais.

 

Ébola - Mme Awa Marie Coll Seck « A ce jour, l’état de santé du patient est stable »

Eva Marie Coll Seck

iGFM- (Dakar) Selon un communiqué du ministère de la Santé et de l’Action sociale, leurs services ont reçu des équipes de surveillance épidémiologique opérant en République de Guinée, une information faisant état de la disparition depuis trois semaines d’un cas contact des personnes infectées par le virus Ebola, qui se serait rendu au Sénégal. C’est ainsi  que le contact a été localisé au niveau de la  Clinique des Maladies Infectieuse du centre hospitalier national de Fann.

Marché hebdomadaire de Diaobé quand ebola ralentit les activités

  La fièvre hémorragique à virus Ebola hante le sommeil des sénégalais, surtout ceux des régions périphériques non loin de la Guinée où l’épidémie continue de faire des victimes. Si aucune personne atteinte du virus n’a été signalée, Ebola a tout de même ralentit les activités du marché hebdomadaire de Diaobé (région de Kolda) que fréquentent des milliers de personnes venues des quatre coins du Sénégal ainsi que des pays voisins, notamment la Guinée. Reportage.  

Marché hebdomadaire de Diaobé. Il est midi en ce période d’hivernage où le ciel  s’installe aux lendemains des pluies dégageant de loin cette chaleur suffocante et insupportable des mois de mai, juin et juillet. L’activité bat son plein en ce mercredi matin. 

SIDA - «Haro à la stigmatisation et à la discrimination!»

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L’OBS – Les porteurs de VIH Sida de la ville de Louga ne sont pas du tout enchantés par la discrimination et la stigmatisation dont ils font l’objet. Réunis autour d’une association, ils ont rendu visite aux leaders d’opinion pour dérouler un plaidoyer sur leur statu sérologique.

Les porteurs de VIH Sida de la ville de Louga, regroupés au sein du mouvement «Andando Sigui» sont maintenant décidés à lutter contre la stigmatisation et la discrimination dont ils estiment être l’objet. C’est ainsi qu’ils sont en train de rendre des visites de courtoisie à quelques leaders d’opinion de la ville, pour faire des plaidoyers. Alors, hier matin, après avoir rencontré des délégués de quartier, les membres de cette structure ont été reçus par L’Observateur. 

Ébola ! Fermeture de la frontière avec la guinée Conakry des passages incontrôlés

Le Sénégal a fini de fermer sa frontière avec la République de Guinée, mais la psychose autour de la fièvre Ebola persiste. Aussi, faut-il avoir les moyens de fermer une frontière. Ceux qui veulent contourner la mesure passent par des pistes incontrôlées pour ensuite se retrouver à Diaobé.

La frontière avec la République de Guinée est officiellement fermée. Mais hier vendredi, jusqu’aux environs de 13h 30mn, le passage au niveau de Kalifourou ne semblait pas concerné par la mesure. Le trafic se déroulait normalement, sans qu’aucune autorité n’accepte de se prononcer sur la situation.

VIDEO. Liberia : les malades du virus Ebola indésirables dans les rues de Monrovia

Ebola

  A Monrovia, la capitale libérienne, la bataille contre le virus Ebola fait réagir les habitants, qui contestent les conditions sanitaires dans lesquelles ils vivent.Les autorités libériennes rencontrent de nombreuses difficultés depuis plusieurs jours dans la gestion de la prolifération du virus hémorragique Ebola. Des hommes armés ont attaqué, dimanche 17 août, un centre d’isolement pour malades du virus Ebola à Monrovia, la capitale du Liberia, provoquant la fuite de dix-sept patients.

Ebola-Fermeture des frontières sénégalo-guinéennes ces passagers qui violent l'interdit

  A Dakar, malgré l’entrée en vigueur de l’interdiction de mouvoir entre le Sénégal et la  Guinée Conakry pour se prémunir de la fièvre hémorragique, certains ressortissants Guinéens tendent désespérément de quitter Dakar. C’est le cas de certains trouvé hier lundi sur l’avenu Bourguiba, à hauteur des services du domaine et impôts.  

Nonobstant la décision du gouvernement du Sénégal de fermer ses frontières terrestres, aériennes et maritimes avec la République sœur de la Guinée Conakry pour se prémunir de la fièvre hémorragique qui fait ravage actuellement en Afrique de l’ouest, notamment en Sierra Leone, au Libéria  certains ressortissants guinéens défient encore les interdits du Sénégal prétextant être dans l’obligation de se rendre dans leur pays. 

EBOLA - Présence d’une unité de MSF à Dakar : La téranga refusée aux médecins

Pour prémunir sa population du risque de contrac­ter le virus Ebola, le Sénégal vient d’interdire l’entrée sur son sol d’avions en provenance de Guinée Conakry, de Sierra Leone et du Liberia. Cette mesure s’étend même aux avions de Médecins sans frontières qui doivent transporter du personnel médical dans les zones affectées. Mais pour ne pas être accusé de refuser de participer à l’effort d’éradication de la maladie, les autorités sénégalaises ont trouvé une solution qui sonne comme un pis-aller.

Comme la Peste de Jean de La Fontaine, Ebola sème littéralement la terreur. Dans nos contrées, un pays comme le Sénégal, bien connu pour son esprit d’ouverture et de respect de la circulation des biens et des personnes, n’a pas hésité à opposer un niet catégorique à la demande d’une organisation comme Médecins sans frontières (Msf), qui demandait l’autorisation de positionner à l’aéroport de Dakar un aéronef qui devait assurer des rotations entre la capitale sénégalaise et la Guinée Conakry, la Sierra Leone et le Liberia. 

Guinée : probable recrudescence d’Ebola, avec le retour au pays de malades venus du Liberia

EBOLA
iGFM- (Dakar) Plusieurs Guinéens ayant contractés l’épidémie d’Ebola quittent le Libéria pour recevoir des soins médicaux dans la ville de Macenta dans le Sud-Est du pays.

Le porte-parole du comité de riposte contre Ebola, le docteur Sakoba Keita craint que ces mouvements ne provoquent une recrudescence de la fièvre hémorragique dans cette ville du sud-est du pays. Beaucoup d’habitants de Macenta avaient été affectés entre les mois de mars et avril derniers. Aucun nouveau cas n’y a été enregistré depuis deux mois.

« Le nombre de cas dans le pays voisin, le Libéria augmente avec une incidence très élevée. Nos compatriotes qui sont là-bas ont tendance à revenir en Guinée pour trouver des soins meilleurs », a expliqué le docteur Sakoba Keita.